• Les contes de l’Abracadabra

    Depuis toujours les contes et la magie aiment se retrouver. Une belle occasion leur fut donnée au printemps 2015, par le Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme à Paris dans le cadre d’une exposition intitulée : Anges et Démons.

    7 contes surgissent alors prêts à pousser la porte de l’autre monde où chacun de nous possède un double ..
    7 contes pour accueillir…
    à bord du paquebot Mazel Tov, Schmulnik, artiste de music hall, à Cracovie, Leilah l’ange des naissances, le roi Salomon et l’homme à deux têtes ;
    un colporteur transporté par un oiseau griffon, prêt à vivre l’amour en haut d’une tour au milieu de nulle part, dans une forêt obscure, Nissim l’orphelin
    7 et une ancée changée en caillou … contes pour explorer les temps de la vie, de la naissance à la mort.

    7 contes pour explorer les temps de la vie, de la naissance à la mort.
    7 contes pour défaire les fragiles frontières du bien et du mal ….
    7 contes venus d’Amérique, de Pologne, du Yémen, de la Méditerranée et des Balkans
    7 minutes plus tard, Mico Nissim se met à composer au piano, Olivier Marquézy en pro te pour créer une nouvelle valise d’images animées et nous voilà tous les 3, mêlant ainsi, librement, mots parlés, chantés, musiques et images, d’un écran à l’autre …

  • Le vent se lève

    Le Vent Se Lève – Harmonie de Cergy (LVSL) est un orchestre d’harmonie fondé il y a plus de 20 ans. Sa vocation est de promouvoir la création artistique au service de la pratique amateur.

    L’orchestre regroupe une vingtaine de musiciens, essentiellement des instruments à vents, claviers, batterie, basse. Les instruments à cordes peuvent également être présents dans l’orchestre.

    Depuis sa création en 1999, la Direction artistique et musicale de la formation est  assurée par Mico NISSIM, pianiste, jazzman, compositeur, arrangeur,…  

    Notre répertoire est basé sur des créations et des arrangements originaux, alliant le jazz et les musiques actuelles. Nous organisons couramment des partenariats avec d’autres formations (chorales, groupes musicaux …) ou artistes (chanteur(se), compositeurs, solistes, …) à l’occasion de nos spectacles.

    L’orchestre se produit régulièrement sur l’agglomération de Cergy, dans le Val d’Oise et plus largement en Île de France, à raison de 6 à 8 concerts par saison.

  • Traces (piano solo)

    « Traces », mon 3ème album en piano solo, sera disponible sur toutes les plateformes numériques à partir du 5 Juin 2020 et il bénéficiera d’une sortie physique à compter du 13 Novembre 2020

    On pourra y trouver des compositions inédites, ainsi qu’une adaptation de la chanson « Ile de Ré » créée par Claude Nougaro et une version très personnelle de « la Pavane » de Gabriel Fauré. 

    Plusieurs concerts de sortie seront organisés dès que la situation le permettra.

    Produit par le Label Trois-Quatre (membre des Allumés du Jazz) et distribué par Absilone,

    Enregistré et mixé durant l’hiver dernier sur le Steinway de mon frère Léo, il a été masterisé par Thomas Vingtrinier au Studio Sequenza.

    A propos :
    Bien autre chose qu’un album-souvenir, un récit imaginaire où j’ai aimé tisser un entrelacs de sillages profonds et d’éraflures légères comme autant de blessures et de caresses.

    Il est le fruit d’une longue et amoureuse patience, et comme on l’espère de tout fruit abouti d’une récolte attentive, je souhaite qu’il donne du plaisir à toutes celles et tous ceux qui voudront bien le goûter.
  • À la caresse de l’univers

    Depuis sa création au Conservatoire de St Cloud en 2018, cet orchestre s’est produit au Théâtre de l’Aquarium dans le cadre de la résidence du Quatuor Leonis et au Festival Pinces à Linges à Nevers.

    Visuel A la Caresse de l'Univers

     LE LABYRINTHE QUARTET DE MICO NISSIM

    Mico Nissim piano et compositions originales
    Stéphan Caracci
    vibraphone
    Jean-Luc Ponthieux
    contrebasse et basse électrique
    Luc Isenmann
    batterie

    LE QUATUOR A CORDES LEONIS 

    Guillaume Antonini 1er violon
    Sébastien Richaud
    2ème violon
    Alphonse Dervieux
    alto
    Julien Decoin
    violoncelle

    Le Labyrinthe Quartet de Mico Nissim

    est né d’une rencontre en 2012 entre 4 musiciens familiers de la scène du Jazz en France et au delà.

    Outre 10 albums sous son nom (dont 2 avec Toure Kunda et un hommage récent à O. Coleman et E. Dolphy) Mico Nissim a été membre de l’Orchestre National de Jazz de Claude Barthélémy et a joué avec nombre de grands talents du Jazz (A. Romano, D. Humair, H. Texier, S. Lacy, D. Malherbe, P. Fresu , G. Laurent, etc) .

    Stephan Caracci se produit actuellement avec Renaud Garcia Fons, Ping Machine et Raphaël Imbert.

    Jean-Luc Ponthieux a quant à lui travaillé au cours de sa carrière avec très nombreux solistes (Claude Barthélémy dont l’ONJ, Mimi Lorenzini, Philippe Deschepper, Jacques Mahieux etc)

    Luc Isenmann : Diplômé du CNSM de Paris en classe de jazz (élève de Daniel Humair), il mène depuis 1997 une carrière de batteur de jazz, engagé dans de multiples projets qui l’ont conduit d’Afrique en Asie, à travers toute l’Europe, ainsi que sur la plupart des scènes de jazz en France, avec entre autres David Patrois, Jean-Charles Richard, Géraldine Laurent, Laurent de Wilde, Benjamin Moussay, Claudia Solal, François Jeanneau.

    Le Quartet a déjà un premier CD à son actif  « Labyrinthe et autres routes » sorti en 2014. Il s’est produit sur la scène parisienne (Sunside , Studio de l’Ermitage, Entrepôt, la Java etc) ainsi qu’en région parisienne ( St Cloud, Magny-le Hongre, Auvers sur Oise, Château de la Roche Guyon, Genevilliers).

    Le Quatuor Leonis

    a été créé en 2004 par d’anciens élèves du CNSMD de Lyon et Paris. Après avoir accompagné pendant plusieurs années le travail du metteur en scène Olivier Py à l’Odéon-Théâtre de l’Europe. Il est actuellement en résidence au Théâtre de l’Aquarium (Cartoucherie de Vincennes).

    Lauréat de nombreux concours de musique classique dont le Concours de Genève en 2006, il aime pourtant élargir son champ d’action à la Musique Contemporaine et au Théâtre. Le Quatuor s’est produit aussi bien en France (Théâtre du Chatelet, Salle Pleyel, Festival Berlioz de la Côte St André, Orangerie de Sceaux) qu’à l’étranger (New York live events 2013, Festival de Musique électronique de Shangaï, au Japon, en Allemagne , en Italie etc…)

    Depuis plusieurs années Le Quatuor Leonis crée en outre ses propres spectacles, notamment « Eclisse totale Totale » , « Cordes électriques « , ainsi que des lectures avec Olivier Py et Ariane Ascaride.

  • Labyrinthe

    Piano et vibraphone dialoguent dans un perpétuel rebondissement de timbres lumineux à la manière des carillons ou des gamelans et délicats comme des boîtes à musique.

    Nulle mièvrerie mais au contraire des clins d’œil à la rugueuse esthétique Monkienne ou Dolphienne,
    dans Blues For Arnold et Sérénade Quantique.

    Une section rythmique qui redessine sans cesse les lignes de force et les perspectives de ce tableau aux multiples tonalités en or majeur.

    Avatar, peut-être, du Modern Jazz Quartet et  auto-portait en fragments amoureux de la vie et de la musique.

    Nulle froideur de futurisme abscons mais humour et tendresse, dédicaces à l’idéal féminin et ses infinies
    déclinaisons musicales dans Hello Beautiful et Les Grandes.

    Mico Nissim : piano et compositions // Stephan Caracci : vibraphone // Jean-Luc Ponthieux : contrebasse // Mourad Benhammou : batterie

  • Ornette / Dolphy / Tribute / Conséquences

    Mico Nissim:  piano et recompositions
    Géraldine Laurent : saxophone alto
    Laurent Mignard : trompette de poche
    Stéphane Guillaume : clarinette basse et flûte
    Jean-Luc Ponthieux : contrebasse
    Mourad Benhammou : batterie

    Dans le domaine de l’Art, il existe de très nombreux cas où l’artiste crée à partir d’une œuvre existante, cette dernière lui servant de point de départ pour sa propre « déviation ».
    Le Jazz est, à sa façon, presque entièrement voué à cet exercice de style.

    Mico Nissim a voulu puiser non seulement dans l’histoire et le répertoire thématique, mais aussi dans l’essence des improvisations
    d’Ornette et de Dolphy. Il ne voulait surtout pas se perdre dans une adulation pétrifiée, non, il voulait repérer dans leurs enregistrements des éléments propres à être développés et réactivés dans le style qui est devenu le sien.

    Le processus de création l’a conduit de ce point de
    départ vers de nouveaux signes, vers une esthétique qu’il espère singulière et porteuse de l’envie de s’aventurer encore plus loin. Point of departure n’était-il pas déjà au milieu des années 60 le titre d’un album emblématique d’Andrew Hill avec Eric Dolphy !

    Travailler sur les conséquences d’Ornette Coleman et d’Eric Dolphy,
    c’est célébrer une fête pour le temps présent et aussi en préparer d’autres pour le futur. A ma façon, fière et modeste, au sein du grand creuset culturel aussi nécessaire à l’existence que le gîte et le couvert.